
A entendre les nom et prénom Ouattara Eugénie, peu d’entre nous sauront qui se cache derrière. Ce n’est autre que la chaleureuse Djuédjuessi, actrice-comédienne ayant vraiment marqué des générations d’ivoiriens.
Ayant disparue de la scène du 7ème art depuis un moment la ‘’mère de Nafi’’ est de retour en Côte d’Ivoire. En effet absenet pour cause de maladie, elle nous a fait savoir il y a trois semaines que l’actrice-comédienne a déposé ses valises sur les bords des lagunes ébrié. Notre Duédjuessi entend poursuivre là où elle s’est arrêter. ‘’La raison de mon absence sur la scène se justifie par mon état de santé. J’étais hors du pays pour des soins aujourd’hui, je vais bien. Je suis rentrée il y a trois semaines. Je vais reprendre mes projets cinématographiques là où je les ai laissées par la grâce de Dieu’’, a-t-elle confie. Des projets qu’elle confie qui verront la partition de ‘’nouveau talent’’ du cinéma.

Il faut dire que c’est l’émission satirique “Comment ça va” de Léonard Groguhet dans les années 80-90, qui l’a révélée aux ivoiriens. Sur le petit-écran, les téléspectateurs se sont habitués à la silhouette généreuse de la talentueuse Djuédjuessi, une “Awoulaba” au teint clair, chaque samedi soir.
On ne peut parler de Djuédjuessi sans faire référence à cet autre grand comédien, en l’occurrence Gazékagnon.
En effet, dans “Comment ça va”, les deux formaient un couple explosif, se retrouvant chaque fois dans des situations cocasses. En tout cas, les ivoiriens aimaient bien la paire Gazékagnon-Djuédjuessi, qui réussissait régulièrement à les faire rire.
Au fil du temps, l’actrice Djuédjuessi a gagné en maturité, au point de produire sa propre série télévisée, à savoir “Nafi”, qui a été vite adoptée par de nombreux téléspectateurs. Une chose est certaine, c’est que la belle Djuédjuessi a marqué des milliers de personnes, attendant certainement d’elle, une autre production cinématographique censée enrichir le catalogue du septième art ivoirien.

De grand projet, elle en a et notre Djuédjuessi revient en force sur la scène.
Mam Ouattara
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